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| Sujet: Karanzia Yamamoto [Terminé] Sam 28 Aoû - 21:04 | |
| Pour commencer tout en douceur.. Nom :Yamamoto. Prénoms : Karanzia. Age : 25 ans. Date de naissance : 10.10 Lieu de naissance: Tokyo in Japan. Nationalité : Japonaise. Sexualité : Hétéro. Professeur : Etude des Moldus.
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(c) Haiki_chan « Mais qui t'es, pourquoi t'es là ? Qualités : Énergique / Séduisante / Honnête / Protectrice / Charismatique Défauts : Vaniteuse / Susceptible / Gourmande / Provocante / Impulsive Caractère : D’un simple regard, Karanzia est capable de vous faire tourner la tête. Personne n’a dit de quel coté vous tourneriez la tête ni pour quelle raison, mais la première raison est justement la plus simple : notre professeur d’étude du monde moldu est sans nul doute l’une des plus belle perles du personnel de poudlard. Sans entrer dans les détails de son incroyable prestance, l’aura invisible et somptueuse qui émane de cette femme est l’une des raisons qui vous emmène inévitablement à tourner la tête pour la regarder. Il va de soit que cette description est un peu exagéré, sachant que notre demoiselle ne peut-être au gout de toute la population masculine, toutefois, on ne peut pas nier le charisme particulier qui émane de notre belle japonaise. Il est certain que Karanzia aime porter des vêtements onéreux pour renforcer cette image dont nous venons de faire description. Porter des vêtements ou une robe de sorcier à prix exubérant est sa manière de montrer combien son désir de paraître en permanence « impressionnante » est important pour elle. La seconde raison qui pourrait vous emmener à tourner la tête, c’est son coté perturbateur et provocant. Cette fois, vous chercheriez plutôt à détourner le regard. Disons qu’elle prend un réel plaisir à vous fixer du regard, comme une proie prête à se jeter sur son futur repas. C’est un jeu auquel elle aime s’amuser avec les élèves. Non pas que certains élèves n’aient essayés de maintenir le regard dans celui de Karanz, rares furent quand même les élèves capables de tenir plus de dix secondes à son terrible jeu du regard. Un jeu pratique qu’elle utilise en particulier pour faire taire un élève pour un effet immédiat et prolongé. Karanzia est ce genre de femme qui aime provoquer. Elle aime se nourrir de la colère des adultes ou des élèves, c’est plutôt dans la mauvaise humeur qu’elle trouve plaisir à écouter les gens ou qu’elle trouve un réel plaisir à s’amuser. La joie et la bonne humeur, pas pour elle. Loin d’être ce genre de femme à vous casser les pieds à longueur de temps, elle n’est pas non plus des plus agréables. Karanz est parfois insoutenable et extrêmement colérique souvent dut à son coté susceptible, il lui en faudra très peu pour qu’elle entre dans une colère dévastatrice. Ne cherchant pas à se coltiner une épaisse bande que l’on qualifie souvent d’amis, peu de gens dans son entourage sont capables d’être suffisamment efficace pour la calmer sa fureur. Elle ne paraît pas toujours en colère, il lui arrive souvent de garder de coté les critiques péjoratives qu’on pourrait lui faire, en particulier quand ces critiques sont loin d’êtres constructives. Alors là en tout cas, en particulier si vous êtes un élève, il est préférable pour vous de vous méfier en allant vous coucher… des fois qu’un nid d’araignées remplace votre pyjama sous les draps. En faite, il est très facile de savoir si elle est en colère ou pas sans parler des moments ou elle entre en transe, si un élève lui fait une remarque et qu’elle ne répond rien pour se défendre, tout le monde sait déjà qu’il arrivera quelque chose à cet élève. « Oh, le pauvre malheureux ». En général, ses petites vengeances on dont de faire rire la population. C’est qu’elle est quand même amusante… même si son but premier est loin d’être de faire plaisir aux élèves. Connaissant ce coté-là de notre chère professeur, les autres membres du personnels et professeurs ne sont certainement pas toujours d’accord avec ce type d’évènement perturbateur. Au moins, ses vengeances sont ensuite connues de toute l’école et on prend plaisir à se les raconter entre élèves et professeurs en se cachant des oreilles de Karanzia.
Auprès des adultes, son comportement est un peu différent. Disons qu’elle accorde plus de sympathie aux adultes mais elle préfère et de loin la présence des élèves. C’est un peu difficile à expliquer… l’image qui commence peu à peu à se dessiner d’elle dans votre tête est peut-être celui de la femme tyrannique auprès des élèves. Toutefois et même si elle ne se l’avouera peut-être jamais, travailler auprès des élèves toute l’année est une vraie potion de bonheur dont elle serait incapable de se procurer les ingrédients magiques pour la converser si elle ne travaillait plus au château. Notre mademoiselle Yamamoto est très protectrice mais elle n’est pas du genre à le montrer. Elle prend soin de ses élèves car si elle est au courant d’un problème que l’un d’eux aurait rencontré et quelque en soit le domaine, elle n’hésitera jamais à lui venir en aide de façon souvent indirecte et discrète pour ne pas montrer ce coté attachant de sa personnalité. Pour terminer, Karanzia est toujours très éloquente avec les adultes. Pour finir, il faut savoir que mademoiselle Yamamoto est d’une gourmandise extrême. Essayez donc de lui emporter une boite de pâtisserie à son bureau… voyez ce qu’il se passe et profitez en bien.
Aime : Se montrer belle et agréable à regarder, dépenser énormément d'argent dans des objets et vêtements de luxe, se balader sans être accompagné, les hommes beaux et bien sculptés, travailler auprès de ses élèves, boire quelque chose de chaud au creux d'une cheminée, s'aventurer le plus souvent possible dans le monde moldu et porter des vêtements moldus, manger et faire des pâtisseries . Déteste : La politique qui l'ennuie, être obligé de nettoyer son bureau quand le nettoyage a été mal fait, être mal accompagné, être obligé de s'adresser à quelqu'un à l'allure détestable, se montrer sympathique avec quelqu'un quand elle en est obligé et qu'elle n'en a pas envie, courir.
Avant Hogward, tout avait déjà commencé.. Biographie : [/b] Née-moldu d’origine japonaise, mademoiselle Karanzia Yamamoto a vue le jour à l’hôpital du quartier de Shibuya à Tokyo, capitale du Japon. Riches propriétaires d’une chaine d’hôtels quatre étoiles au Japon, ils donnèrent naissance à une petite fille dont le destin était déjà tout tracé avant même sa mise au monde. Elle allait grandir auprès de ses parents et plus tard, quand elle atteindrait à peu près l’âge de dix-huit ans et donc bien avant sa majorité japonaise, elle serait marié à un célèbre futur héritier d’une chaine d’hôtels bien plus importante, étant très réputée et implantée dans plusieurs pays d’Asie. Ces décisions furent prises bien avant la décision de monsieur et madame Yamamoto d’avoir un enfant. Avant d’être sur que ce soit réalisable pour l’enfant qu’ils espéraient avoir dans le futur en priant pour que ce soit une fille, ils s’assurèrent d’entretenir des relations suffisamment importante avec le patron de la chaine d’hôtels internationale dont le fils était âgé à l’époque de quatre ans. Un an après les négociations avec le « grand patron », madame Yamoto annonçait sa grossesse dans le stresse de connaître quelques mois plus tard la nature de son sexe. Si l’enfant était un garçon, madame Yamamoto aurait sombré dans la dépression et peut-être monsieur Yamamoto aurait sombré dans l’alcoolisme, peut-être leur entreprise aurait-elle fait faillite. Les parents de Karanzia souffraient à l’époque d’une envie maladive, celle d’être une famille plus riche encore et encore au point que d’imaginer le contraire aurait put les rendre fou tout les deux et extrêmement dépressifs. C’est la conclusion que ses parents lui avaient faites bien des années plus tard.
Les dix-huit premières années de la vie de Karanzia furent simples et sans évènements particuliers. Grandir dans un milieu comme celui de la famille Yamamoto n’avait rien d’affligeant ni de dérangeant. La richesse de leurs nombreux appartements et de tout le reste lui apportait beaucoup de bonheur. Certaines personnes n’éprouve pas de bonheur avec l’argent, il en est d’autre qui en profite et qui ne vive que de sa en oubliant certaines valeurs morales, il en fut le cas pour Karanzia toute son enfance. La jeune demoiselle était terrible, une peste vantarde, égoïste et extrêmement provocante. A l’école maternelle moldu et à l’école primaire, on apprenait surtout à la détester mais aussi à faire le maximum pour ne pas s’attirer les foudres de celle qui se considérait comme une princesse. Manipulatrice, elle obtenait facilement de ses camarades tout ce qu’elle désirait en usant de ses talents perfides et sournois. L’unique évènement qui perturba son enfance fut celui-ci :
Rentrant de l’école à bord de la limousine familiale, Karanzia demanda au chauffeur d’arrêter la voiture au coin d’une petite ruelle. Il était environ dix-huit heures, les rues étaient sombres mais il lui semblait pourtant avoir aperçue un lapin avec le détail suivant, il avait une patte en sang. L’idée qu’un lapin se ballade en ville aussi loin des prairies paraissait saugrenue au chauffeur. Le menaçant, il s’arrêta quand même en se mettant du bas coté. Avant qu’il ne lui ait demandé de l’attendre pour aller vérifier, elle avait déjà quitté son siège et elle courait déjà dans la ruelle pour rejoindre l’animal mystérieux. Le chauffeur entreprit de lui courir après mais Karanzia ne l’eu plus jamais revue les minutes qui suivirent son départ de la limousine. Elle traversait la ruelle sans prêter attention à ce qui l’entourait. Se rendant compte que la chose qu’elle avait aperçue était sans doute le fruit de son imagination, elle commença à se rendre compte des détails qui l’entouraient. La ruelle était très sombre, âgée de dix ans, la fillette commençait à avoir peur. Etant persuadé que le chauffeur viendrait la trouver, elle se laissa tomber sur les genoux au milieu de la ruelle en espérant qu’il viendrait la chercher au plus vite quand l’animal qu’elle avait identifié comme un lapin s’avança en face d’elle. Il s’agissait en faite d’un chat, un chat qu’elle identifia comme chat des sables, étant son animal préféré, elle n’eu aucun mal à l’associer à cette race. Rassuré de ne plus être seul dans la ruelle, elle entreprit de le carésser lentement pour le rassurer. Elle sentit en le touchant qu’il avait quelque chose d’étrange, elle ressentait à son contact comme une étrange sensation. Elle se décida à le prendre dans ses bras pour le soigner et le ramener auprès de la voiture. Au même moment, le chauffeur arrivait en courant pour la ramener à la voiture. Le chat ne quitta pas ses bras et ils rentrèrent à la maison. Le lendemain, on lui apporta une lettre avec un étrange cachet. Celui-ci portait l’insigne d’Hogward. En apprenant ce qu’elle ferait dans cette école, elle n’en crut pas ses yeux et préféra garder le secret auprès de sa famille. Elle confia cette lettre étrange à celui qu’elle considérait comme son troisième parent. Il fallait l’avouer, ses parents ne prenait pas souvent le temps de s’occuper de leur fille chérie. Alors quelqu’un assurait qu’elle ne manque de rien et s’occupait de tout en ce qui la concernait. Elle entra alors à Hogward avec l’aide de son tuteur, sans que jamais ses parents fussent au courant du secret qu’elle entretenait avec lui.
Les années à l’école se succédèrent. Elle développa d’excellents résultats dans de nombreuses matières et son caractère insoutenable se modifiait à mesure des années. Quand elle eut enfin dix-huit ans, on lui annonça pendant les vacances de Noël de retour chez sa famille qu’elle était promise à l’héritier d’une grande entreprise. Elle avait vécut dans l’ignorance toutes les premières années de sa vie, sa réaction fut peu étonnante. Elle explosa, entra dans une rage incontrôlable et elle manqua même de ne pas respecter (et cela de nombreuses fois) les codes qui lui interdisait de pratiquer la magie en présence de moldus. Malgré tout les reproches qu’elle fit à ses parents, elle dut accepter ce mariage forcé sans quoi ses parents l’auraient empêché de continuer ses études dans l’école qu’elle appréciait tant dont ils ne virent jamais les murs. Ils promettaient de ne pas se mêler de son éducation dans son école mystérieuse si elle acceptait d’épouser l’homme qu’on lui avait choisit. Karanzia choisit d’accepter sinon, elle savait qu’elle ne pourrait jamais vivre une autre vie que celle qu'on avait choisie à sa place. On fit une grande fête pour l’union entre les deux enfants des différentes entreprises. Le mari qu’on lui avait donné n’était pas désagréable à regarder mais son caractère était loin d’être satisfaisant. Au fil des années, son mariage devint de plus en plus horrible à supporter et catastrophique. Poursuivant des études supérieurs en parallèle en ayant obtenue un diplôme à l’école d’Hogward pour devenir professeur d’étude des Moldus, Karanzia rentrait chez elle pendant la période des vacances. Cette période que l’on appelait vacance était loin de ressembler à celle de tout les moldus. Son mari avait depuis longtemps déjà, commencé à boire à grosses quantité tout l’alcool qui lui passait sous le nez. Les premiers temps, Karanzia fit des efforts pour s’occuper de lui quand son état ne lui permettait pas de retirer ses chaussures. Mais au fil du temps, son homme se fit de plus en plus mauvais jusqu’à devenir violent. Tout commença par une gifle, puis par quelques coups et enfin, il vint à se servir de ses pieds et de ses mains. La solution qu’elle trouva fut d’en parler à ses parents avec qui elle avait déjà coupé les ponts. Compréhensifs et ayant compris qu’elle souffrait de cette relation, ils promirent de l’aider à se dégager de tout ça en l’appuyant énormément pendant toute la durée de son divorce avec le moldu. Quand elle en eu terminé avec lui avec qui elle vécut quatre ans d’enfers, elle prit la décision de vivre dans le même pays que la grande école de magie ou elle étudiait. Elle demanda à ses parents de ne plus jamais essayer de la revoir et eux, rongé par la culpabilité, prirent la décision de tout faire pour se racheter en commençant par lui donner une somme d’argent colossale et en promettant de lui envoyer chaque mois une grande quantité d’argents à son domicile. Désireuse de poursuivre sa vie dans le luxe, elle accepta en précisant qu’elle n’accepterait jamais aucune excuse de leur part. Deux ans plus tard, elle obtenait le poste de professeur d’étude des Moldus à l’école ou elle avait fait ses premiers pas. « Because we have relationships Car l'être humain n'est jamais seul.. Famille : Karanzia n'a plus aucun lien avec sa famille moldu. Après son divorce avec le mari que ses parents lui avaient imposés très jeune, Karanzia a décidé de couper les ponts avec sa famille pour montrer à quel point être marié avec cet homme qui était violent avec lui et dont la simple présence la dégoutait fut un moment horriblement difficile pour elle et impardonnable. Malgré les nombreux regrets de ses parents en apprenant ce qu'il se passait entre eux, elle prit la décision de ne jamais pardonner son mariage forcé. Ses parents sont extrêmement riche, ce qui explique leur motivation à l'avoir marier très jeune à un jeune homme de riche famille pour expenser d'avantage les richesses familiales. Ils continuent régulièrement de lui envoyer de l'argent, à cause de sa grande vanité, Karanzia accepte l'argent sans toutefois éprouvé de la compassion pour les actes de ses parents qui tentent de se racheter du mieux qu'ils le peuvent.
Amoureusement : Depuis son divorce dans le monde moldu, Karanzia n''est toujours pas prête à avoir une relation stable avec un homme. Les hommes, elle a pour habitude de les prendre et de les jeter quand l'envie lui vient. Ses conquêtes sont nombreuses mais aucune d'entre elle n'aura réellement value la peine de s'éterniser. L'expérience qu'elle a eut plus jeune lui aura à tout jamais gâcher l'envie d'aimer. Il en ressort maintenant certains points négatifs à sa personnalité... mais accrochez-vous quand même, la roue peut toujours tourné. Il faudra alors se montrer persévérant, sans doute.
Amicalement : Mais ce mot n'existe pratiquement pas dans le vocabulaire de Karanzia voyons. Non, elle ne déteste pas tout le monde, ce n'est pas dans son caractère, c'est seulement qu'elle n'accorde pas facilement son "amitié". Ses relations avec les autres est assez superficiel, peut-être que les personnes avec qui elle est la plus proche se sentent être son ami mais ce n'est pas sur que se soit réciproque. Toutefois, elle ne vous rejettera jamais si vous dites la considérer comme telle. Elle ne vous répondra peut-être pas si vous lui posez la question sur ses sentiments amicaux, c'est tout.
Entourage : Karanzia est plutôt froide en permanence, elle n'accorde pas souvent sourire mais est toutefois très à l'écoute. Elle ne parle pas énormément alors n'hésitez pas à lui poser des questions si c'est votre première rencontre avec elle, ce n'est pas elle qui cherchera à vous faire la conversation vous pouvez en être assuré. Il lui arrive parfois de faire le premier pas, mais c'est plutôt rare.
« Before juge me, try to love me !
Parce qu'on est tellement beau, que chaque détail compte.
Couleur des yeux : Presque entièrement noir... Couleur des cheveux et forme : Ses cheveux sont longs et lui descendent jusqu'au nombril. Fins et lisses comme la plus part des asiatiques, elle aime les porter attachés entre les murs du château mais elle préfère les laisser naturel quand elle ne donne pas de cours ou qu'elle se trouve tout simplement en dehors de l'école de magie. Couleur de peau : Son teint est froid et blanc comme la neige avec la fâcheuse de tendance à très peu bronzer pendant l'été. Taille & Poids : 1m75 Carrure : Svelte et séduisante Style vestimentaires : En dehors de ses robes longues de sorcières au château, elle porte des vêtements chic que l'on pourrait comparer au style des bourges moldus extrêmement riche qui aime porter des vêtements luxueux du genre. Disons que notre demoiselle porte des vêtements que vous ne trouverez presque jamais sur une autre femme. Son hobby principale étant d'acheter et de dépenser énormément d'argent dans ses vêtements, des robes longues et élégantes en passant par des combinaisons splendides et très différentes les unes des autres sont remplies à l'intérieur de ses imposants placard. Elle porte des vêtements de multiples couleurs et a une certaine préférence pour les couleurs froides comme le noir et le marron foncé. Marques Mais voyons, ce qu'il y a de plus chère et de plus beau. Tic tac tic tac tic tac.. Manie, Autre : Elle regarde fixement ses élèves pour les désorienter, activité auquel elle aime s'amuser et qu'elle pratique régulièrement. Dans ta poche, ton sac Ma baguette, un à plusieurs livres moldus, une trousse de maquillage bien remplie, une bouteille d'eau moldu, un carnet de note et un petit agenda à l'intérieur de mon sac. Animal de compagnie : Un chat des sables. Epouvantard : Son ex-mari moldu. Patronus : Chat Serval. Baguette :Bois de cerisier & un crin de licorne. Parce qu'on veut connaître la facette de geek derrière l'écran ! Ton prénom ou Pseudo : / Ton âge : 17 ans Ta moyenne de connexion : 5/7 Ton niveau de RP : Moyen Multicomptes : Non Comment as tu connu le forum : Hmm... sur un top site peut-être ? (; & le règlement, tu l'as lu Ok, Nikkie Une dernière chose peut être : « Bon, un petit avant goût ? Mais quel toupet de me juger dès le début ! Test de RP : - Spoiler:
En même temps que HyunA effleurait de ses doigts sa blessure à la tête, le jeune homme qu’elle avait interrompu pendant son entraînement semblait se diriger étrangement vers son sac de sport qu’elle avait abandonné avant d’entrer dans le placard. De dos, il ne pouvait pas la voir même à travers le miroir qui se trouvait en face de lui. Elle releva la tête avec l’expression de celle qui se demande ce qu’il se passe en déposant en même temps ses mains sur ses genoux, se demandant bien ce qu’il pouvait allez faire puis, prenant l’expression de la fille choquée, la bouche entrouverte comme prête à faire une interjection, elle recommença à penser de sa petite tenue qu’elle avait réussi à oublier quelques secondes. Ses mains se mirent automatiquement devant sa poitrine, comme pour la protéger et pour la cacher des yeux du danseur, comme si son soutien-gorge prenait la place de sa poitrine qui heureusement, n’était pas totalement dénudée. Dans certain clip, HyunA avait déjà porté de nombreuses tenues sexy conformément au style des danseuses des 4Minute toutefois, en dehors des demandes particulières dans le domaine professionnelle, la jeune femme s’avérait être extrêmement pudique avec les hommes. Chose normal me direz-vous mais toutes les femmes ne sont pas comme ça. Sauf peut-être avec Taeyang qui fut jusqu’à aujourd’hui le seul homme à la voir se balader en sous-vêtements dans leur appartement. Après tout, il n’a jamais été question de quoi que se soit dans leur relation, leur relation est particulière, se sont juste des colocataires et de très bon amis d’enfance alors, pas de quoi être gênée et puis vivre avec Taeyang ne signifie pas avoir de la retenue, oh non ! Pour en revenir à la situation, le bel inconnu pendant qu’elle se perdait dans ses pensées au sujet de sa façon de s’habiller dans son appartement avait rapporté son sac de sport pour le mettre devant-elle. Notre danseur l’avait simplement rapporté pour qu’elle puisse récupérer ses affaires, ayant sans doute compris qu’elle en avait besoin, surtout maintenant qu’elle mettait ses mains devant son soutif pour ne pas qu’il puisse la regarder à ce niveau ce qui finalement, attirait forcément l’œil dessus. Il avait aussi remarqué sa blessure sur son crâne et l’informait maintenant qu’il se rendait à l’infirmerie pour lui trouver de quoi se soigner. Sans bouger, la jeune femme se sentit rougir.
{HyunA} « Mer…merci beaucoup. Je suis désolé, c’est de ma faute si je me retrouve dans une situation pareille et si vous en êtes la victime… merci de vous déplacer pour moi. Je m’en excuse encore… vous n’avez même pas à faire sa pour moi. »
Le regardant partir et après qu’il ait fermé la porte derrière lui, elle ramassa son débardeur blanc déposé sur le dessus de son sac de sport entrouvert. Elle prit soin de ne pas le faire glisser sur son crâne pour ne pas le recouvrir de sang et elle put enfin couvrir sa poitrine à la vue des miroirs de la pièce et de l’homme qui ne tarderait certainement pas à revenir. Au même moment, les murs de la salle de danse se mirent de nouveau à trembler, l’orage n’avait pas finit de gronder et le danseur revenait au même instant avec de quoi soigner sa blessure. Elle ne put s’empêcher de lui en le voyant entrer avec des compresses et des pansements, qu’elle le trouvait gentil et étrangement calme. Après tout, il aurait put très mal prendre ce qui c’était passé à peine quelques secondes auparavant. Elle aurait très bien put l’observer à sa guise comme une folle admiratrice à travers la porte entrouverte du placard en imaginant des choses comme on dit, pas très catholique. En tout cas, si un fan avait fait le coup à HyunA, elle aurait sérieusement prit peur et elle se serait dépêché de quitter la pièce. Qui sait sur qui on peut tomber ? Une ou un dangereux psychopathe par exemple. En tout cas, l’homme ne prit pas la peine de lui demander son avis pour la soigner puisqu’il s’était déjà installé à coté d’elle et avait déjà attrapé avec douceur son visage pour la soigner. Très surprise, la jeune femme n’osa pas bouger. Quand il déposa une première compresse sur sa blessure, HyunA ferma les yeux avec la peur que le contact de la compresse et du désinfectant lui fasse un mal quelconque toutefois, elle ne ressentit aucune douleur. Puis elle serra les dents quand il lança la phrase fatidique « Attention ça va un peu piquer » comme pour montrer qu’elle était prête à recevoir le produit une nouvelle fois. Bof, effectivement ça piquait, mais pas beaucoup alors elle s’autorisa enfin à rouvrir les yeux.
HyunA faisait l’analyse discrète des traits du visage de son soigneur pendant qu’il travaillait à penser sa blessure. Vraiment, c’était un bel homme. Elle se demandait l’âge qu’il pouvait avoir, entre vingt-cinq et vingt-sept huit, ni plus ni moins. Puis elle se demanda quelle carrière il pouvait bien exercer... danseur sans doute, mais peut-être autre chose. Elle essayait ensuite de deviner dans quel groupe il pouvait bien appartenir, se remémorant les idoles coréennes qu’elle avait aperçut dans l’université… les big bang, non, il n’ne faisait certainement pas partie. Les Shinee, non non non…hmm… alors qui ? Peut-être avait-il entamé une carrière solo depuis plusieurs années… en tout cas, elle ne le reconnaissait pas. Ce qui étant vraiment étonnant… c’est qu’il ne lui avait encore posé aucune question à savoir pourquoi elle se trouvait là ni même aucune question pour connaître son identité. Elle n’eut pas besoin de se poser longtemps la question car déjà, il se présentait sous le nom de Se7en. Voilà un nom bizarre qui lui rappelait quelqu’un désormais. Après s’être brièvement présenté, il lui proposa de passer au vouvoiement au tutoiement, ce qu’elle accepta en le signalant d’un hochement de tête positif en même temps qu’il achevait sa question. Lui qu’elle avait prit pour quelqu’un de calme s’avérait finalement extrêmement bavard puisqu’il débitât pas mal de choses en moins de quelques secondes, un sourire affectueux sur ses jolies lèvres. Gênée après avoir entendu toutes ces choses, HyunA se gratouilla l’arrière de la tête en affichant un sourire qui se voulait agréable à regarder :
{HyunA} «Ahahah… Pardon mais après ma sortie mémorable du placard, je n’étais pas sur que t’apprendre mon identité soit la meilleure chose à faire. J’avais choisi de venir m’entraîner dans la salle de danse ce soir puisque c’est souvent le moment ou il y à le moins de monde et ou on est le plus tranquille pour bosser alors. Je ne m’étais pas préparé à recevoir de la visite aussi tard dans la nuit du coup, j’ai tout de suite prit peur et c’est pour cette raison que je me suis retrouvée dans ce maudit placard. Tu dois me trouver ridicule. C'est-à-dire que… je panique très facilement… »
Au même moment, un coup de tonnerre éclata à l’extérieur et on put l’entendre jusqu’à l’intérieur de la salle de danse. HyunA eu un léger sursaut et elle afficha une expression de peur terrible sur le moment qui se détendit peu à peu avec le bruit qui s’estompa ensuite complètement. L’orage ne lui avait jamais fait aussi peur que cette nuit-là… il faut dire qu’elle avait été terrorisée pendant de très longues minutes à l’intérieur de son placard et apparemment, la peur ne s’était pas totalement évanouit. Il ne manquerait plus qu’il y est une coupure de courant pour couronner le tout…
{HyunA} « Je suis membre des 4Minute. Mon vrai nom est Kim Hyeon Ah et mon nom de scène, Kim HyunA. Je… j’ai peur que le disjoncteur de l'aile artistique ne tienne pas la route, quand je dansais tout à l’heure, la lumière avait tendance à »
Au même moment, la pièce se retrouva totalement plongée dans le noir. Cette fois était de trop, HyunA rapprocha ses jambes à son cou et elle ferma les yeux, rêvant de voir la lumière se rallumer dans les secondes qui suivaient sa phrase inachevée. Le disjoncteur avait sauté, sans doute un éclair avait rencontré une ligne de courant plus loin à l’extérieur et la source de courant du complexe n’avait pas put tenir… ne bougeant plus, elle se rendit compte combien elle avait peur du noir. Une situation comme celle-là ne lui était jamais arrivé, jamais le courant n’avais sauté à l’appartement en tout cas. Elle ne disait rien et écoutait les réactions de Dong Wook face à cette coupure de courant qui ne semblait pas prête de se terminer.
Dernière édition par Karanzia Yamamoto le Dim 29 Aoû - 20:16, édité 4 fois |
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